Un supplice...un délice...une envie...une crainte

Il y a peu de pratiques qui m'attirent autant qu'elles me font peur.. la CBT en est définitivement une.

J'aime cette idée de me sentir petit entre ses mains, à sa totale merci, de la sentir prendre du plaisir à m'infliger cette douleur insoutenable.

Je sais que j'aurai autant envie de la sentir continuer des heures autant que je l'implorerai de la voir s'arrêter.

Oui, je ne sais pas si je serai à la hauteur de cette douleur, je sais en revanche que la sensation d'appartenance sera à l'échelle de sa détermination.

Une envie furieuse de souffrir ainsi, une crainte toute aussi intense...mais je sais une chose cela se fera si ELLE le souhaite, cela s'arrêtera...si ELLE le souhaite.

Offrir ma douleur, accepter ce traitement est assurément une des choses qui m'attirent le plus, je m'en remettrai à sa totale volonté pour que cela devienne réalité ou pas, je m'en remettrai à sa totale volonté pour que cela dure ou bien ne dure pas.

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Aux pieds de Madame

Il n'est de signe plus fort que celui de ramper jusqu'aux pieds de Madame pour pouvoir déposer des baisers sur ses divins pieds.

L'échine courbée, l'odeur du cuir mêlée à ses effluves m'enivrent, je suis fier de me trouver là, heureux que cette Dame accepte ma présence auprès d'ELLE. 

Ses talons sont hypnotisant et les ressentir appuyer sur ma tête me font prendre conscience du privilège qui m'est accordé.

Je lui offre mon cou, ma nudité, rien de moi ne doit lui être caché, ELLE doit pouvoir lire en moi comme dans un livre ouvert. 

Le don de soi, sans rien attendre en retour me fait perdre toute humanité tout en m'emplissant d'un bonheur incroyable d'être enfin moi. Tout mon corps, toute mon âme et tout mon coeur totalement dédiés à sa suprématie, conscient que sans ELLE je ne suis rien qu'un être perdu.

Toutes ses émotions aussi fugaces que prégnantes s'ancrent en moi et concrétisent toutes mes aspirations inassouvies depuis beaucoup trop longtemps.

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J'ai faim...

Il est des périodes comme ça où je ressens le besoin irrépressible d'être rempli, de sentir mon fondement s'ouvrir, se dilater et d'être élargi... et en ce moment c'est la cas.

Avec les ans, j'affectionne de plus en plus les pratiques anales, j'en retire un plaisir trouble, le mélange entre l'humiliation et l'excitation de ma prostate.

Je n'ai jamais réellement expérimenté, ce n'est que des périodes de ma vie, mais en ce moment, tous mes jouets anneaux sont très régulièrement sortis de leurs rangements pour en retrouver un autre...bien plus agréable! ;-)

Je me réveille "sur la béquille", je m'endors en ne rêvant que de ça et n'y tenant plus je me suis lâché... Dick Rambone est venu rejoindre les autres...j'ai peut-être eu les yeux plus gros que l'anus, mais je ne vais pas abdiquer...je me sens lope et lubrique, assurément...avide!

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Fetish

J'ai toujours ressenti un côté "inaccessible" à une femme vêtue de tenues moulantes, des tenues qui permettent de tout voir, de ressentir la beauté qui s'échappe à soi.

J'affectionne ces tenues fetish qui mettent en avant la force d'une Femme qui la rendent encore plus désirable qu'Elle ne l'est déjà, autant que j'affectionne le voile de collants, le spandex et bien sûr le latex.

J'aime la sensation de crever littéralement d'excitation de ressentir mon chîbre se gorger de sang jusqu'à faire mal et de lire dans le regard de l'autre le plaisir ressenti à me voir implorer la délivrance et me la refuser!

Mon corps entier qui l'appelle, la désire, la vénère. Toutes ces odeurs qui emplissent l'air et m’enivrent, je me sens devenir "animâle", oubliant toute pudeur, abdiquant mon côté homme pour me transformer en boule de sens, en boule d'émotion et me ressentir suspendu à ses volontés, tel la chose que j'ai toujours rêvé de devenir.

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Aie!

Que je me sens petit, rien, lorsque Madame m’agrippe par mes testicules.

La peau qui se tend comme si ELLE allait arraché ce semblant de virilité. (Je ne marche jamais aussi bien sur la pointe des pieds quand ces moments là! :-) )

Je sais que je vais me sentir à sa totale merci, je sais que je vais l'implorer d'arrêter, poussé par la douleur, retenu par l'excitation de la situation.

Je la sens cruelle, s'amusant de me voir ainsi souffrir, profitant de la situation pour bien montrer que je lui appartiens, que sans ELLE je ne suis rien. 

Même les mains libres, je ne me défends pas, conscient que si je m'interpose entre ses désirs et moi il m'en coûtera davantage. 

Je souffre pour ELLE, conscient que ma résignation est le signe de ma passion absolue.

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Divin séant

A la fois d'humiliation et en même temps source d'excitation folle, j'apprécie qu'une Dame me flatte de son poids sur mon visage, en s'octroyant une pause cigarette par exemple ou bien simplement parce qu'Elle le désire.

J'apprécie cette sensation d'être privé d'air tout en étant enivrer de ses effluves, de ne pas savoir quand la nouvelle bouffée d'air se fera ressentir, ou même simplement si elle se fera ressentir, c'est selon...son bon vouloir.

Comble du bonheur, ses divins moments où il n'y a aucun filtre entre mon visage et son intimité et où ma langue doit flatter ses sillons.

Mon corps tout entier s'embrasse, mon chîbre se tend, je ne peux nier l'excitation. Etre ainsi vulnérable, à disposition et utilisé, je ne connais meilleures sensations. 

Aussi longs et aussi éprouvant que ces moments peuvent être, je n'en connais pas de meilleurs. Cet inaccessible tout contre moi, je me nourris de ses effluves, je la lèche, je la bois et savoure pleinement cette chance qui m'est donnée.

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A ses pieds

J'aime cet endroit, à ses pieds, me sentir vulnérable, la sensation d'avoir une arme pointée sur la tempe. 

La savoir à l'autre bout me bouleverse au plus profond de mon être.

Peu importe ce qu'ELLE décide, ce qui m'importe le plus est que sa volonté soit faite. Oui, je plie l'échine, je lui offre mon cou en guise de dévotion.

Je sais qu'en cet instant je suis vulnérable, ne pouvant me soustraire à sa volonté et cette dépendance que je ressens m'emplie d'intenses sensations.

C'est ainsi que j'aime à me retrouver en son plein pouvoir, car je lui appartiens, ELLE a tout pouvoir sur moi, et moi j'ai l'honneur d'être sa chose.

Ces moments sont forts, et la sensation d'appartenance omniprésente. Je ne me suis plus, je n'ai plus d'existence en tant qu'homme libre, mon identité est d'être sa pleine et entière propriété. 

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Le plus bel endroit sur terre

Il n'est de plus bel endroit sur terre qu'aux pieds de sa Propriétaire. 

Oui, j'aime courber l'échine et m'offrir à sa volonté, ne plus rien choisir, me laisser aller à être à l'image de ce qu'ELLE attend de moi, dans la position de son choix.

C'est à ses pieds que je me retrouve, que je suis pleinement en phase avec ma personnalité profonde, épanoui et heureux de vivre.

Peu importe ses désirs, je rêve d'obéïr, sans réfléchir, uniquement parce que c'est ELLE et parce qu'ELLE m'a fait l'honneur de me choisir.

Vivre en totale abnégation de soi est mon dessein, je ne conçois pas la vie de couple autrement. J'ai besoin de ces déséquilibres, de ne pas être son égal, mais sa propriété.

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sa Lope!

Ma laisser aller, pousser pour mieux la laisser prendre possession de mon fondement...

Je suis sa lope, j'aime ces aller-retours en moi, je m'ouvre, incapable de résister à ses attentions. 

Je sais que feuler mon rut de la sentir ainsi prendre possession de moi, me conduira vers une sensation de honte à la fin.

Je sais que tant que je me laisse aller, que j'en oublie de contrôler mes pulsions je lui donne les clefs de mon être, je laisse tomber toute fierté.

Elle le sait, Elle en joue, Elle en abuse. Oui, je n'ai aucune fierté que celle de lui appartenir, d'être sa lope et de couiner bestialement à chacun de ses coups de butoir.

Homme soumis au quotidien, je me transforme en bête en rut, en "animâle" dénué de raison, en chose assoiffée de vices. En assouvissant mes envies lubriques, Elle prend le pouvoir, n'oubliant pas de me rappeler à la moindre occasion combien je suis "sa" lope.

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Suis moi...

Je suis de ceux qui ne peuvent concevoir une relation amoureuse "normale". 

Seuls la servitude, l'abandon et l'abnégation pour ELLE peuvent conduire à mon épanouissement. Je rêve de pouvoir marcher fièrement à quatre pattes dans son ombre, que mon regard ne dépasse pas ses genoux.

Je rêve de cette dépendance, qu'elle soit, physique, morale ou bien affective (j'espère le tout à la fois :-) )et ne peut concevoir donner mon coeur d'une quelconque autre manière.

Comme un besoin irrépressible de ne plus m'appartenir, de ne plus être libre, de croiser la route de cet ETRE supérieur, cet ETRE totalement libre qui n'aura de cesse que de faire de moi sa chose, sa propriété...son Esclave avec un grand "E".

Je ne sais où ELLE est, je ne sais si je la croiserai un jour, mais chaque soir en m'endormant, mes pensées sont tournées vers ELLE, ELLE que j'espère rencontrer demain.

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Point de vue

Je suis l'heureux condamné à toujours levé la tête vers le soleil qu'Elle est pour moi. 

Tel les êtres enchaînés au fond de la caverne de Platon qui ne voient que des ombres pour seules représentation du monde, le mien ne se vit que d'en bas, regardant vers le haut cette Déesse intouchable dont je suis la propriété.

Le reste n'a pas d'existence, je rampe à ses pieds et c'est là qu'est ma place. C'est un honneur immense que de vivre dans son ombre, la laisser me guider et user de moi comme Elle l'entend.

Elle ne me doit rien, je lui dois tout, toutes les émotions qui me traversent, tout le bonheur qu'irradie ma vie que d'être à ses pieds.

C'est étrange comme une vie tournée vers une seule personne peut devenir aussi prégnante, aussi forte, aussi intense. Elle m'envoûte assurément, comme l'impression qu'Elle tient mon coeur au creux de sa main, qu'Elle peut le laisser battre à plein si Elle y conscent, qu'Elle peut le contraindre en le serrant fortement, uniquement parce que c'est ce qu'Elle désire.

Oui, je rêve de ce monde unique, de ce monde où seuls ses désirs, ses plaisirs sont souverains, mes devoirs et obligations mon quotidien.

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Equestrienne

Un look pas facile à porter dans la vie de tous les jours...j'en conviens! Mais que d'émotions à voir une femme en pareille tenue...

A chaque fois la même chose, comme une envie irrépressible de me jeter à ses pieds, lui faire luire ses bottes avec ma langue, bien cambrer les fesses des fois qu'une envie cinglante lui prenne.

Oh, je suis loin d'être le seul assurément à être impressionné par une telle Equestrienne, mais plus qu'une simple excitation c'est tout un tas d'émotions, de bouleversements au fond de mes entrailles.

Je me sens faible en ces instants, mais poussé par mes pulsions les plus prégnantes, je ne peux résister...et je crois bien que la pire des tortures serait que cette Femme, m'interdise le moindre contact. 

J'imagine aisément mon chibre se tendre, laisser perler une goutte d'excitation annonciatrice de mon désir les plus intenses et me mettre à japper tel un petit chiot qui ne rêve que d'une chose l'attention de sa Maîtresse.

Peut-être qu'un jour une Femme me fera ressentir tout cela...j'en rêve!

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Plug...and play!

Voilà l'objet qui déjà s'avance vers mon fondement. 

Je n'en connais pas la taille, ni même la durée pendant laquelle je devrai sentir mon fondement empli, mais je l'implore et remercie ma Propriétaire de me "farcir".

Oui, je suis ce que l'on peut appeler une "salope anale", j'aime avoir les entrailles remplies, rêve de me faire fouiller par une main experte, d'être ouvert progressivement pour être chaque jour capable d'accueillir davantage.

Je rêve de dilatations hors normes, d'être montré affublé d'objet de tailles imposantes, montrer comment je suis un "animâle en rut" rien qu'à l'idée d'être possédé, pris, possédé et rempli.

C'est à la fois  une source de plaisir certes, mais aussi une source d’humiliation, la sensation d'être différent, de ne pas être un humain, mais cette chose prête à tout pour être "analement" violentée, feulant son rut à chaque fois que les objets prennent possession de mon trou.

"Salope anale" je me suis découvert, "salope anale" je suis. J'espère que ma future propriétaire appréciera transformer la chrysalide en papillon et qu'ELLE sera autant Femme Phallique que Femme Castratrice.

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Trouple...ou plus

Peu importe son désire de vie, qu'ELLE soit polyandre, monogame ou bien qu'ELLE souhaite avoir plusieurs esclaves à ses pieds, je m'en remets à ses envies. 

Je donnerai tout pour la moindre de ses attentions, mais je préfère que sa vie soit belle, souriante et pleines "d'émosensations" que d'avoir quelque part la sensation de la posséder. C'est un besoin fort de ma psychée que de risquer de la perdre à chaque instant, de vivre sur le fil en permanence, une vie ou rien n'est acquis.

Son plaisir et son bien-être prévalent assurément les miens, et peu importe ce qu'il m'en coûte, peu importe mes peurs de la voir se lasser de moi, peu importe le risque de la voir tomber amoureuse d'un autre, je lui donnerai tout, sans concession, uniquement parce que c'est ELLE et personne d'autre.

Devoir chaque jour lui plaire d'avantage, me soumettre à tous ses caprices, même les plus inavouables pour toujours être à la hauteur de ses attentes, car aux belles paroles que je pourrai lui déclamer, je préfère les actes, mes actes envers ELLE, parce que ce n'est que comme cela que je conçois ma vie amoureuse...qui ne peut être autrement qu'au service d'une Reine.

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Puni

Sous son contrôle, je me sens moi et même s'il arrive que les coups pleuvent, je sais que c'est pour notre bien.

Peut-être un exutoire pour ELLE, une remise en place assurément pour moi. Je souffre, je l'ai mérité, je serre les dents mais par dessus tout j'accepte.

Je ne conçois pas cette relation Dominante/soumis sans ces remises en place, sans ces marques, sans ses marques sur mon corps qui montrent mon appartenance, qui montre qu'ELLE est la Déesse et que je suis le dévot, sa chose, sa propriété absolue.

Sa loi est mon tout, je m'y plie aveuglément, j'en accepte les privilèges comme les devoirs, les contraintes.

Là, l'échine courbée, le séant levé, j'accepte son dressage, c'est ainsi que notre amour se matérialise, ELLE décide de tout, j'accepte tout...sans aucune réserve. ELLE mieux qui quiconque sait ce qui est bien pour NOUS, pour ELLE, moi, je ne suis que l'artisan de ce bien.

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Divines retrouvailles quotidiennes...

Après une longue journée passée sur les champs de bataille de la vie professionnelle, vient le soir et l'attente du retour de ma Reine. 

La nudité pour seul vêtement, je patiente jusqu'aux claquements de ses talons sur le parquet. Tel un bon petit toutou, comme son "animâle", je m'approche à quatre pattes pour lui rendre hommage.

Me voilà courbant l'échine, embrassant ses pieds, ses chaussures, je ressens de nouveau son parfum, cette fragrance qui a manqué à mon air tout au long de heures pendant lesquelles je n'étais pas à ses côtés.

Aucune idée de son humeur du jour, aucun mot échangé, mon regard n'a pas croisé le sien, je ne sais même pas si Elle me regarde...mais qu'importe, c'est en ces actes aveugles, que je lui témoigne mon amour, ma passion et ce qui m'anime.

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Tout ce qu'Elle fait à l'intérieur...

...se voit à l'extérieur!

Peu importe les actes, peu importes les stigmates sur mon corps, l'essence même de cette relation tant espérée ne sont rien sans le ressenti profond, ce que je ressens dans mes entrailles.

Un tourbillon, un papillonnement constant, la sensation prégnante d'être possédé, de lui appartenir corps et âmes sans faux semblant.

Je peux feuler mon rut, me sentir en chaleur et appeler sans retenu ses douceurs, ses tourments, tout ceci n'a de sens que si je la ressens en moi, que chaque bouffée d'air qui pénètre mes bronches porte son parfum, que si mon coeur se sent tenu au creux de sa main.

Le ressenti au fond de moi, la clé de voûte de tout, ce ressenti sur lequel Elle fait la pluie et le beau temps, uniquement parce que je lui appartiens, uniquement parce que c'est Elle et personne d'autre.

Où est-elle? Mon corps, mon coeur et mon âme la réclame depuis tant d'années...

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Allégeance...

Chaque heure qui passe au long d'une journée de travail me rapproche de ce divin moment, celui où le soir venu, je laisse tomber le costume, celui où je suis enfin moi et me prosterne aux pieds de ma Reine.

Volontaire, je me jette à ses pieds, pour lui témoigner mon amour et ma gratitude, pour lui montrer que chaque jour qui passe je suis fier de lui appartenir, que moi le guerrier au quotidien, je rentre à la maison et dépose les armes à ses pieds, lui présente mon cou en guise d'allégeance.

Il n'est plus belles divines retrouvailles quotidiennes, ô combien symboliques, dont les profanes ne pourraient deviner le sens le plus profond et ne pourraient sentir tout l'amour qui se cristallise en cet instant magique.

Peu importe les marques, les traces de cette relation peu commune, pour moi, elle n'a de sens que dans ces moments de simplicité, de communion entre ELLE et moi.

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Tétons sensibles

Il n'est pour moi pareille sensation que de sentir ses doigts jouer avec mes tétons...mon corps tout entier qui s'embrase, faisant surgir du fond de moi des envies d'être possédé.

A mesure des ses attentions, je deviens de plus en plus "animâle", oubliant l'humain que je suis pour plonger dans cet état de bête en rut, prête à tout pour sentir son corps tout entier être contrôlé,  malmené, pris.

J'aime ses mots doux, le calme de sa voix en contraste de ses tortures de plus en plus sévères, son assurance lorsqu'Elle m'assène ses "Tu es à moi, je fais ce que je veux de toi".

Me trouver nu face à Elle, totalement vulnérable avec le feu du rut qui s'empare de tout mon corps, chose malléable à l'état brut.

Elle le sait, Elle en joue et moi je ne suis que son jouet consentant, son souffre-douleur, son "souffle-plaisir'... Peu m'importe au final ce que je suis, l'important étant ce que je ressens grâce à Elle.

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Comme une bouteille à la mer...mon annonce

De retour après quelques années d’égarements à penser que mon bonheur pouvait se trouver en d’autres choses…en d’autres vécus…

Je ne peux nier l’évidence…je suis soumis !

J’en ai pleinement conscience et, l’expérience aidant, je sais qu’une rencontre basée sur le « jeu » (ou bien une relation de couple avec une sexualité BDSM) ne serait qu’un ersatz de ce à quoi j’aspire au plus profond de moi et ne m’apporterait aucun épanouissement.

Homme assurément soumis, j’erre en quête d’une Femme Dominante, « cérébro-perverse», désireuse d’une relation au long cours, une Femme Dominante soucieuse de voir sa propriété accepter chaque jour davantage le lâcher prise pour vivre selon ses désirs, selon ses règles.

A la fois cérébrale et physique, je souhaite offrir à l’autre les clés de mon être tout entier, me mettre à nu sans faux semblants, déposer à ses pieds «les armes » qui pourraient conduire à mon anéantissement, m’agenouiller et lui tendre ma nuque, conscient que ma tête pourrait tomber si tel était son désir souverain.

Homme incliné à tendances masochistes, le SM fait partie intégrante de ma recherche mais n’est pas pour autant le but ultime de ma quête. Je souhaite avant tout une emprise psychologique, un partage « d’émo-sensations », une relation forte où le cœur et l’esprit seront les moteurs de notre cheminement, les stigmates sur mon corps qu’un pâle reflet de ce qui bouleverse nos entrailles.

Je suis motivé pour caler mon pas sur celui de cette Femme Dominante, fine psychologue qui saura m’analyser, qui saura prendre le temps de me jauger avant de choisir notre chemin idéal, celui qui sera pour ELLE fait d’épanouissements, de fiertés et de joies, pour moi d’étapes, d’efforts et d’abnégation pour constamment chercher à me surpasser… parce que c’est ELLE et personne d’autre.

Je souhaite une relation BDSM faite de règles et de devoirs, une relation non limitée à la sphère BDSM, ouverte sur le monde et ses joies…il y a tellement de belles choses dans la vie qu’il serait bien triste de s’en priver.

Homme pragmatique et attentionné, je suis une personne pleine de sensibilité que je camoufle sous divers artifices dans la vie. Las de porter au quotidien cette protection, j’aspire à la nudité de mon âme pour CELLE qui m’acceptera auprès d’elle.

Chaque personne lisant des mots d’une autre, mettant en sa lecture une part d’elle-même, il me paraît important d’apporter quelques précisions quant à ma vision de l’autre…

Ma recherche est tournée vers une Femme DOMINANTE exigeante, stricte parfois dure, tant psychologiquement que physiquement, mais une Femme intègre, droite, bonne, juste, au QE et au QS exceptionnels et armée avant tout d’un cœur.

Je ne recherche pas une femme dominatrice ressentant le besoin de se venger de la gente masculine pour quelque raison que ce soit. Je ne recherche pas non plus une dominatrice de pacotille qui penserait que parce que je suis homme et soumis cela lui donne le droit de m’appeler « chien », « esclave » ou autre et qui entend me voir appliquer les « règles » sur lesquelles elle entend baser sa « domination » avant même que nous nous soyons rencontrés et attendant de la « courtoisie »…financière !

Je suis matière, j’espère une sculptrice du corps, du cœur et de l’âme, quelqu’un qui me façonne à son image, qui me marque de son empreinte, une personne qui me « travaille »...pas une fainéante capricieuse !

Si Vous me lisez, me comprenez et que Vous vous retrouvez en mes mots, je serai ravi d’échanger davantage pour faire plus ample connaissance et voir si nos désirs respectifs sont suffisamment en adéquation pour espérer que je puisse vous accompagner sur le chemin de la vie.

Au plaisir de Vous lire...

Pénétrante

Mes larmes, mes cris, mes râles, mes souffles sortent de moi en réponse à vos mots, vos mots tendres, prenant, forçant mon intimité. Des mots sûrs comme si je n’avais aucun secret pour Vous. Des mots forts aux rythmes acérés. Je me perds, je perds pied, je n’ai plus le contrôle de mon âme, de mon corps...de mon cœur.

Je vous sens derrière moi, votre souffle sur ma nuque, expire, inspire, le souffle chaud, tout contre moi, heureux moments d’expirations où je Vous sens toute proche, cruelles moments d’inspiration où je ne Vous sens plus, craignant que Vous ne soyez plus là.

Votre souffle, vos mots, pénètrent en moi comme en terrain connu, en terrain conquis. Je suis pour Vous un livre ouvert, une gamme que Vous jouez les yeux fermés comme pour me montrer votre pouvoir et me faire sentir qu’en confiance à Vous je peux m’abandonner.

Ces instants magiques où Vous faites jaillir de moi toute ma bestialité, tout en la contrôlant, me démontrant ainsi que je suis le tigre et Vous la dompteuse.

Va-et-vient, vos mots me pénètrent, m’inondent, mes réactions physiques aux plaisirs cérébrales, témoignent de votre emprise et de mon désir de non résistance. Je me perds, dans les méandres de mon moi, pour Vous offrir le meilleur de moi.

Tour à tour, les barrières cèdent, je Vous offre mon être, je me surprends à le faire alors que Vous n’en aviez jamais douté. Vos mots entrent en moi, Vous imprégnez mon âme de votre présence, marquez votre territoire. Sensation d’ivresse de plénitude, je sais que la descente sera rude, mais qu’importe. Intensément je vis, je ressens ces moments, ces mots, ces paroles, ces pics, ces caresses, je sais que lorsqu’ils ne seront plus, ma dépendance à Vous ne me fera aucun doute.

Vous le savez, Vous en jouez, martelant mon esprit de vos mots, de vos réelles certitudes, paroles que je ne peux nier. Devant Vous offert, je sens que ma naissance est proche, humain ou animal, peu m’importe mon apparence aussi longtemps que je suis à l’image de ce que Vous souhaitez.

Vos paroles s’accélèrent, délicieuses brûlures, je suis à l’orée de la forêt, au moment où je me perds, moment où mes désirs sont partagés entre la crainte que cela s’arrête et la crainte de voir cela continuer. Mais Vous êtes là, derrière moi, en moi, et Vous savez quel sera ma réaction, mon désir, car Vous savez qu’à Vous je suis l’heureux condamné et que contrairement à ce que je crois, je n’ai plus le choix.

Les murs de protection morale et mentale que j’avais hissés autour de moi ne sont plus. De vos mots Vous les avez brisés, d’un souffle Vous avez balayé ces murs que j’avais érigés pour me protéger d’éventuelles intrusions destructrices.

Petit à petit Vous mettez en œuvre le plan Marshall de ma reconstruction, je ne suis plus un être, je suis matière. Mon esprit en a conscience, Vous le savez, je le sais, nous savons, mais il est une évidence, pour Vous je n’ai plus aucune résistance, je m’offre. Je ne me suis plus, je suis votre.

Doucement, lentement, Vous remplacez ces murs protecteurs détruits, par vos murs, ceux qui n’ont pas pour but d’empêcher les intrusions, mais d’empêcher ma fuite. De l’intérieur, ces murs sont merveilleux, d’une rare beauté, et je sais que l’extérieur que Vous allez façonner, sera aussi beau que l’intérieur que Vous aurez créé.

Vous et moi savons, contrairement aux regards étrangers malveillant, aux opinions des "bien-pensant" que ces murs ne sont pas une prison, mais au contraire, le noyau de notre fusion...le berceau de notre réalité.

je Vous suis

je Vous suis... trois mots qui résument parfaitement mon désir de vie, trois mots que je rêverai de Vous souffler si Vous m'offrez cette place auprès de Vous.

"je" : moi l'homme, le cadre efficace au quotidien qui ne s'épanouit que lorsqu'il courbe l'échine pour offrir sa nuque, conscient que son existence n'a de sens qu'en son appartenance, qu'en ces stigmates qui tapissent son corps, qu'en ses mots qui claquent et qui font tourbillonner toutes ses tripes.

"Vous": LA femme, consciente de son pouvoir, un esprit directif, à la main douce et ferme,  à la fois cérébrale et physique, appréciant découvrir la vie autant qu'appréciant faire de son homme son "animâle", le dresser et le façonner à sa main, et lui imposer au quotidien rites et devoirs.

"suis": à la fois "ETRE" et "SUIVRE"! C'est en Vous suivant, que je pourrai enfin "être", c'est à vos côtés, dans votre ombre, que ma vie prendra tout son sens, c'est en Vous suivant que je pourrai enfin... être à Vous.

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Inaccessible...

Consciente de mon attrait pour certaines matières, Elle abuse de ce savoir, me laissant deviner ses courbes, ses sillons dans lesquels j'aimerai par dessus tout glisser ma langue...

Mais ce voile, aussi envoûtant qu'il soit, la rend inaccessible, me laissant simplement deviner ce à quoi je pourrais goûter mais qui m'est refusé...

Terrible frustration, mon chibre se gorge de sang, comme s'il était déjà prêt à exploser, mon corps tout entier la réclame, je gémis pour l'implorer de me laisser me goûter son divin nectar et sentir sa cyprine humidifier mon visage.

Mais c'est à d'autres tourments qu'Elle semble me destiner, amusée de mon incandescence dont Elle est à l'origine.

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Point de vue

Lorsque je la vois ainsi, tout mon être entier s'agite... Elle s'avance jusqu'à me surplomber, offrant à mon regard son intouchable intimité. Ses mots font mouches à chaque fois, telles des flèches qui viennent me transpercer.

Trouble sensation, un mélange sucré salé entre excitation et humiliation, je me sens si petit ainsi offert, nu à ses pieds.

Elle en joue (encore que je ne sois pas certain qu'Elle "joue"), avant que ses talons viennent exercer des pressions de ci de là sur mon corps, le marquant en diverses endroits. A chaque geste de protection de ma part, son regard noir me toise et sa consigne tombe, m'intimant de ne pas le faire...

Du bout de son pied chaussé, Elle vient tapoter mes bourses, les écraser plus ou moins légèrement.

Je passe par tous les états, une envie irrépressible que cela ne s'arrête jamais tant j'aime m'offrir à ses sévices autant qu'un désir très fort que cela s'arrête tant la douleur me prends. 

Mais rien n'y fait, la voir ainsi au dessus de moi et subir ses désirs sadiques...je bande, comme un signe de ma part pour lui dire..."J'accepte tout de Vous Ma Dame".

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Le plaisir d'offrir

"Vaginatarien" un jour, "Vaginatarien" pour toujours

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D'heureux tour(s)!

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